•  

    Ma Chouquette a mis longtemps à parler... elle a dit son premier "maman" à presque deux ans !
    Mais depuis, elle se rattrape, elle tient des discours, mets le ton, les mimiques....
    Sauf que si on a pas le traducteur intégré, ben c'est pas évident de saisir toute la quintessence de sa pensée...
    Voici quelques uns de ses mots, pour voir si vous aussi vous savez parler le chouquette ;-p
     
     
    goto              
    pekini              
    pélé                 
    assi                 
    potote
     
    La solution bientôt ;-p             
     

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  • J'ai testé pour vous un restaurant qui a une spécialité de patates.
     
    oui, je recycle mon monsieur patate, mais je l'aimais trop ;-p



     
     

     

    Déjà, le cadre, personnellement, j'aime bien cet amoncellement de vieilleries, j'adore regarder les vieilles pubs papier... bref, j'aime le cadre.
     
    Ensuite, la cuisine est telle qu'on peut l'attendre, bonne copieuse, pas de la haute cuisine, mais rien à redire. Ce n'est pas diététique ni light mais ce n'est pas un restau gastronomique, c'est de la restauration rapide un cran au dessus des fast food et autres kebab.
     
    L'accueil ensuite. J'ai testé deux fois le même restau (en même temps, il n'y en a qu'un dans mon coin ;-p)
     
     
    Une première fois avec une copine, toutes les deux csp++, présentant bien.
    Nous avons été très bien accueillies, placées près d'une fenêtre, un endroit clair, agréable. Service à la bonne vitesse, ni trop rapide, ni trop lent, bref, j'étais contente.
     
    C'est pour ça qu'hier, je décide d'y emmener ma moman : on avait pas trop de temps, mais pas envie d'un fast food.
    On arrive donc à trois, ma moman, chouquette et moi même. On était habillées décontracté, et j'ai bien compris qu'on présentait bien moins bien que la première fois !
    On me demande si chouquette mange aussi, je répond que je ne sais pas, ça dépend du menu enfants. La serveuse en a déduit que non.
    On a donc été mises à l'écart, au fond, pile en face des toilettes, sur une table deux places, chouquette étant coincée dans un siège plastique entre nous deux.
    Je précise qu'on est arrivées tôt et que le restau était vide quand on nous a installées.
    Et le service ! Bon, poli, hein, pas de problème, mais d'une rapidité ! A peine l'apéro servi qu'on avait les plats sur la table, et dès les plats finis, hop, dessert et addition...
     
    Pour cette seconde fois, j'ai réellement eu l'impression de ne pas être la bienvenue, surement à cause de Chouquette, qui est trop petite pour consommer un vrai menu...
     
    J'ai donc été très énervée sur le coup, maintenant, je suis juste déçue, et je pense que j'y réfléchirait à deux fois avant d'y retourner...
     
    "précautions d'usage : il ne s'agit que d'un seul restaurant, je ne juge pas toute la chaine !"

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  • Aujourd'hui, petit interlude à base de photos de chatons ;-p
     
    En effet, ce matin c'est une journée très spéciale.
    Une journée particulière
    Je dirais même une journée très importante.
     
    En effet, vous n'êtes pas sans savoir que ce sont les vacances scolaires...
     
    Or qui dit vacances scolaires, dit enfants en liberté à la maison. Enfin, en liberté, je me comprends.. en free style, en live, incontrôlable serait plus juste.
    Surtout quand, comme moi, on en a trois, et que Chéwi en a trois aussi.
     
    Alors quand tout ce petit monde se retrouve pour les ouacances, ben ça fait 5 tornades lâchées, faut planquer tout ce qui casse à la maison !
     
    Nous avons été cherché les 2 loulous à Chéwi dimanche dernier, à Carca, chez le chéri à Lex (purée, on avance plus, on court dans les relations avec Lex, c'est super :-) )
     Et donc nous avions les 5 monstres gnomes trolls enfants chéris depuis ce jour...
    Bon, il faut avouer que cette fois, tout s'est bien passé, heureusement pour ma santé mentale ! Surtout que Chéwi avait appliqué la fameuse formule du "courage, fuyons" en allant bosser...
     
    Et donc, en ce vendredi saint sein béni, en ce chouette vendredi, c'est LE jour !
    Le jour où la chair de ma chair, mes bébés, mes chéris d'amûûûr partent enfin passer leurs 5 jours de vacances chez leur popa !
    Et hasard du planning (en fait, j'ai bossé dur pour ça !), Chéwi ramène ses enfants aussi ce matin !
    Comme j'en profite pour mettre aussi ma moman dans le train en suivant (oui, j'ai une moman très gentille, même si un peu stressante des fois, qui vient m'aider et n'hésite pas à affronter la tribu en folie), ca veut donc dire que dès 13h aujourd'hui,
     
    je serai LIIIIIIIIBRE !
    Liiibre, plus de "mamaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaan" toutes les 3 secondes prononcées par plein d'enfants en même temps, plus de cris, plus de hurlements,
    liiiiiiiiiiiiiiiibre !
     
     
     
    Ah, on me signale dans l'oreillette que le modèle 2008, plus connu sous le nom de "schtroumpfette" reste avec moi... ah, oui, mon mini boulet d'amour...
    Bon, pour la liberté, on repassera... mais j'espère que maintenant que ses frères et soeurs sont partis, elle aura le temps pour me faire des calins....
     
    Hein ? les photos de chatons ?
    C'est parti !
     
    Voici, pour leur moisniversaire :
     
    Knacki
     

     

     
     
     
     
     
    et Knacki Ball

     

     
    (devinez qui est la fille, qui est le garçon ? ;-p )

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  •  

     
     
     
    Cher connard incompétent inspecteur de mes deux,

    L'an dernier (oui, il vous faut bien une année entière, pov' chou, pour vous remettre de m'avoir visitée), vous m'aviez envoyé sur le dos un "faisant fonction", parce que vous n'aviez pas de temps à perdre à inspecter les profs, c'est bien plus marrant de démanteler les sections technologiques...
    Bref, un "faisant fonction", donc, pas inspecteur, qui était censé m'inspecter quand même, alors qu'il n'y connaissait rien en élec... (souvenez vous, c'est ici).

    Le rapport fut catastrophique (pour moi !), ce connard "faisant fonction" n'ayant absolument rien écouté, ou retenu de ce que lui avait dit, m'a reproché plein de choses alors que pendant l'entretient je lui avait montré le contraire de ce qu'il me reprochait...

    J'ai évidemment contesté ledit rapport, en envoyant deux fois le même courrier, un par voie hiérarchique, un par la poste.
    Manifestement, vous n'avez même pas jugé utile de me répondre, ni même de m'accuser réception...

    Quand j'ai réussi à vous coincer dans un couloir un jour où vous êtes venu au lycée (en tout bien tout honneur, de toute façon, le style balai dans le cul, très peu pour moi) , vous avez osé me dire "ah oui, je me souviens avoir reçu un courrier, faut voir avec le connard "faisant fonction", et il m'a dit que de toute façon, ça s'était très mal passé"....
    Youhou
    Je tope donc le connard "faisant fonction" en suivant, et là, festival de mauvaise foi, de mielleuseries... trop lâche pour dire en face, mais se permettant de critiquer et de profiter de son petit semblant de pouvoir quand il est devant son rapport à rendre...
    Bref, il a fait semblant de m'écouter, je croyais qu'il serait un minimum honnête... 
     
    Seulement voila, je viens de recevoir ma note.
    La fameuse note pédagogique.
    Qui détermine, entre autre, la vitesse d'avancement et donc indirectement le salaire.

    Et donc, Monsieur l'incompétent inspecteur, 
    Par la présente je prend acte du fait que vous me considérez comme une mauvaise prof.
    En effet, quand j'ai été inspectée en 2001 par votre prédécesseur (en personne, lui, soi dit en passant), il m'avait augmenté de 3 points et était content de mon travail.
    Là, le connard "faisant fonction" a estimé qu'en huit ans, et en ne me voyant qu'une seule heure et sans connaitre ni ma matière ni mes systèmes, j'étais devenue un danger pour mes élèves, et donc m'a sanctionnée en ne m'augmentant PAS DU TOUT.
    Zéro points !

    Il va sans dire que je sais que ce n'est pas la plus dure sanction, j'aurai pu avoir un point de moins, mais je sais aussi que pour en arriver là, il aurait fallu qu'au minimum je viole un de mes élèves, or ils étaient majeurs et consentants...

    Donc, refuser de m'augmenter ne serait-ce que d'un point, c'est me signifier clairement que je suis nulle. Au moment où tous vos discours vont dans le sens de la motivation des profs, c'est très fort.

    A moins que le connard "faisant fonction" n'estime que la place d'une femme n'est pas dans une classe d'electrotech mais plutôt à la maison à torcher le mioches et lustrer les chaussures de son mari....
    ce qui ne m'étonnerai pas non plus puisque bizarrement, je suis la seule femme a avoir été inspectée ce jour là, et aussi la seule à ne pas avoir eu de points...
     
    Bref, cher connard inspecteur, je vois bien que pour vous, un prof qui ne passe pas son temps dans des commissions stériles, qui ne passe pas son temps à lécher le cul des inspecteurs et autres ig, en un mot, un prof qui pense que son métier c'est enseigner à ses élèves, et non pas faire de la politique pour monter les échelons plus vite, ben c'est un moins que rien.
     
    Par contre, je vais vous décevoir, mais je préfère rester moins que rien que de commencer à vous lécher le cul. (vite, enlever cette image de mon esprit, viiiiiite !)
     
    En vous souhaitant bonne réception, cher connard inspecteur, vous pouvez vous mettre ma lettre au même endroit que les deux autres, en espérant que le balais ne prenne pas toute la place.

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  • Voici un calcul qui s' applique également à tous les membres de la fonction publique et assimilés (associatifs, ancienne fonction publique etc...)
     
    Luttez tant que vous en avez encore la force. A la retraite, il sera trop tard !
     
    Et je suis curieuse de savoir combien vont perdre les gens du privé... Avez vous fait des projections a long termes ? Qui se lance et nous dit les résultats ?
     
    --------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
     Calcul fait par un prof :
    Je développe un seul des aspects de cette réforme et son incidence en terme de pouvoir d'achat (traitement net). 
     
    Je suis certifié au 8ème échelon, j'ai un prélèvement mensuel au titre de la pension civile de 193€ car le taux de prélèvement est de 7.87  %.  
    Si cette réforme passe,  le taux sera porté à 10 % et fera passer mon prélèvement mensuel à 245€. Sur une année cela représentera 624€.  
     
    Si je veux compenser mon manque de salaire je devrai accepter des HSE (heures sup') et au taux actuel il me faudra accepter 24 HSE annuellement afin de récupérer cette somme, c'est-à-dire que je vais devoir effectuer l'équivalent horaire de plus d'une semaine de travail  supplémentaire ! 
    Par ailleurs, comme j'aurai accepté de prendre ces HSE je vais contribuer à faire augmenter le rapport heures sup / heures poste et fragiliser certains postes.
     
    Bref il me reste, selon la règle actuelle, 29 années de travail à effectuer et je vais perdre 29X624=18 096€ si les taux sont maintenus en l'état et si mon salaire restait identique (je vais perdre donc plus car mon salaire  devrait augmenter selon la grille).
     
    Par ailleurs, si je veux partir à 62 ans et non 67 ans on va m'appliquer une décote annuelle de 5%, donc au final une décote de 25%.  Le taux de recouvrement est de 70% des 6 derniers mois, ce qui devrait porter ma retraite à  1 950€ mensuels si je pars à 67 ans.  
    Par contre si je veux partir à 62 ans le taux de recouvrement passera à 45% soit une retraite mensuelle de 1 260€ (soit une perte mensuelle de 690 euros).  
     
    En 2017 le nouveau round de négociation veut aligner le calcul des retraites du public sur celui du privé et au lieu de calculer ma retraite sur les 6 derniers mois elle le sera sur les 25 dernières années... (et ne criez pas au scandale, le calcul sur les 6 derniers mois par rapport à vos 25 dernières années est peu ou prou cohérent étant donné notre faible salaire comparé à l'équivalent (même niveau d'études) dans le privé)
    Dans ce cas si je pars à 62 ans ma retraite mensuelle sera à peu près de 1 000€ et si je tiens jusqu'à 67 ans elle sera portée à 1 500€ (soit une perte de 450 euros mensuel par rapport au système actuel de calcul).
     
    Par rapport à la situation actuelle le départ à 62 ans me fera perdre 41 400€ !! 
    Si la réforme passe en 2017 et que le calcul change alors je vais perdre 57 000€. 
    Au final cette réforme dans l'état actuel va me faire perdre au bas mot 59 496€… De quoi faire réfléchir !!
     
    Bonne et heureuse carrière...

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  • Au milieu de toutes ces mauvaises nouvelles, ces prises de tête, etc...
    Un petit moment de douceur à base de bébé et de bébés chats s'impose....

    Voici donc ma chouquette en train de faire la lecture aux knackis.
    Et elle le fait régulièrement, en mettant le "ton", en commentant les images, en tournant le livre vers eux...
    Sur la photo, Saucisse profite aussi de la lecture :-)

    Moi, je fond ! :-)))


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  • Il ne faut pas scier la branche sur laquelle on est (confortablement) assis. 
    C'est un principe de base !
     
    Par un vote du 3 septembre 2010, les députés ont rejeté l'amendement n°249 Rect. proposant d'aligner (pour les parlementaires et les membres du gouvernement) leur régime spécifique de retraite sur le régime général des salariés.
     
    Alors qu'ils n'ont de cesse d'expliquer l'importance de réformer rapidement un régime de retraite en déficit, les parlementaires refusent donc d'être soumis au régime de retraite de la majorité des Français.
     
    Et on devrait accepter de voir les pensions actuelles et futures baisser sans que les grands donneurs de leçons ne s'appliquent à eux-mêmes ce qu'ils veulent nous voir adopter ?
     
    Ce serait intéressant de savoir qui était présent dans l’hémicycle et qui a voté (a main levé) afin de le faire savoir …


    ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------

    APRÈS L'ART. PREMIER
    N° 249 Rect.
    ASSEMBLÉE NATIONALE
    3 septembre 2010
     
    RÉFORME DES RETRAITES - (n° 2770)
     
    Rejeté
     
    AMENDEMENT N° 249 Rect.
    présenté par M. de Rugy, M. Yves Cochet, M. Mamère et Mme Poursinoff
    ----------
    ARTICLE ADDITIONNEL
     
    APRÈS L'ARTICLE PREMIER, insérer l'article suivant :
    Le Gouvernement présente au Parlement, avant le 31 décembre 2010, un rapport établissant la situation des régimes spécifiques de retraite des membres du Gouvernement et des parlementaires et définissant les conditions d'un alignement rapide et effectif de la situation de leurs régimes spécifiques sur le régime général, visant notamment à un encadrement strict des pensions reversées, tant dans leurs possibilités de cumuls que dans leurs montants.
     
    EXPOSÉ SOMMAIRE
    Nos concitoyens supportent de plus en plus difficilement l'idée selon laquelle leurs élus et représentants bénéficieraient, dans leurs rémunérations comme dans la gestion de leurs droits sociaux, de dispositions dérogatoires du droit commun. Les différents systèmes mis en place pour sécuriser l'exercice de responsabilités politiques demandent à être harmonisés, afin que l'ambition légitime de permettre à chacune et chacun de s'investir dans les affaires publiques ne soit plus perçue comme une tentative de créer ou laisser perdurer des privilèges indus.



    source : www.assemblee-nationale.fr/13/amendements/2770/277000249.asp<http: 13="" 277000249.asp="" 2770="" amendements="" www.assemblee-nationale.fr=""> </http:>


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  • Il était une fois, une fille.

    Normale, la trentaine bien tassée, ayant déjà vécu une histoire, ayant divorcé... Une fille « comme il faut », timide (mais têtue), sans histoires...

    Elle a rencontré un homme voici quelques années. Le coup de foudre. Elle croyait avoir trouvé le prince charmant.

    Bon, c'était pas une première main non plus, il avait eu aussi une vie tumultueuse, divorcé, ancien coureur de jupons, elle croyait néanmoins avoir trouvé le bonheur.

    Et de fait, elle est heureuse. Elle réalise en très peu de temps tout ce qu'elle n'a jamais fait avec son ex, une maison, des relations qui deviennent des amis, une vraie vie sociale... tout va bien...

    Sauf que, au bout de quelques années de bonheur, le prince charmant est de plus en plus distant... Il rentre tard à la maison, passe beaucoup de temps à voir les copains, n'aide plus du tout à la vie quotidienne, alors qu'elle bosse aussi...

    Elle déprime, s'imagine tout et n'importe quoi, qu'il ne l'aime plus, qu'il en voit une autre mais qu'il ne veut pas partir parce que c'est bien pratique une maison et une bonniche, mais que de fait, sa vie est ailleurs...

    Elle essaie vainement de discuter, mais à chaque fois, elle parle à un mur, ou les rares fois où il parle, c'est pour dire qu'elle a raison et qu'il doit faire un effort...

    Sauf que les efforts, elle n'en voit pas le début de la queue d'un seul...

    Elle s'enfonce de plus en plus dans la déprime... il bosse de plus en plus, découche, même « pour le boulot, j'ai pas le choix »...
    Un jour de grosse déprime, elle craque. Elle n'en peut plus de ne pas savoir, de se heurter à un mur d'indifférence (feinte ou réelle, elle n'arrive pas à savoir)...

    Elle fait ce qu'elle n'a jamais fait avant. Elle en a honte, mais il faut savoir. Elle sait que c'est pas bien, mais c'est plus fort qu'elle... elle va voir l'historique de son portable.

    Et là, le coup de bâton...
    Voici quelques semaines, il se plaignait que son forfait n'incluait pas les sms, il a donc pris une option... mais il s'est bien gardé de lui dire que l'option sms illimités « pour le boulot, tu sais, c'est plus pratique » coutait plus cher que le forfait initial !

    Mais encore, ça, ce n'est rien... elle se rend compte qu'effectivement, il envoie bien pas mal de sms, mais bizarrement, pas au boulot, non, à une autre fille... qu'elle connait, en plus, et qu'elle appréciait bien...

    Alors elle cogite... même s'il y avait déjà eu des crises entre eux avant, effectivement, cette insupportable indifférence à son égard date du moment où il passait beaucoup de temps chez cette fille « pour boire le café avant d'aller chercher les enfants à l'école »... Sauf que bon, elle sait aussi que sa maison à elle est grande ouverte, il y a toujours du passage, elle les voit mal fermer la maison pour avoir un petit moment d'intimité... elle ne comprend pas...

    Alors elle essaie de lui tendre des perches. Elle parle de cette fameuse option trop chère, lui demande si vraiment c'est utile pour le boulot ? Il lui répond que oui.... Elle reçoit un coup de poignard, il lui ment donc, elle le sait mais ne peut pas le dire...

    Elle lui dit ensuite qu'elle a besoin d'avoir confiance en lui, que c'est lui qui avait juré de toujours tout se dire, de rien cacher, jamais de mensonges entre eux... il répond qu'il ne lui cache rien...

    Un soir, épuisée physiquement et nerveusement, elle craque et le menace de tout arrêter. Elle lui balance tout ce qu'elle lui reproche (sauf le coup des sms, évidemment, elle a trop honte de ce qu'elle a fait)...
    Il a l'air de réagir, lui dit que oui, il l'aime toujours, qu'il va réellement faire des efforts...

    Elle veut y croire... mais prise le doigt dans l'engrenage, quelques jours après, elle ne peut s'empêcher de regarder à nouveau, un soir, discrètement, l'historique des sms... Et ce qu'elle voit ne lui plait pas du tout...

    Effectivement, il fait des efforts, c'est vrai, il rentre plus tôt, il est plus présent... mais il continue à envoyer des sms à l'autre, beaucoup trop pour être honnête...

    Elle ne comprend plus, il a l'air de tenir à elle, à tout ce qu'ils ont construit, mais alors pourquoi ?
    Elle n'a pas de réponses, elle ne peut même pas poser la question...
    Alors elle continue à se prendre la tête...

    Fin du premier acte ;-p


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  • J'ai reçu ça par mail, il fallait que je vous le fasse partager...
     
    Guillaume Sarkozy, futur bénéficiaire de la réforme des retraites ?
    Le site d'information Médiapart affirme jeudi 14 octobre que la  réforme des retraites pourrait favoriser les intérêts du groupe Malakoff-Médéric, dont le délégué général n'est autre que Guillaume Sarkozy, le frère du chef de l'Etat.
     
    Selon Médiapart , la réforme "va conduire à l'asphyxie financière des grands régimes par répartition" et sera donc "propice à l'éclosion de ces grands fonds de pension qui n'étaient pas encore parvenus à s'acclimater en France, à quelques rares exceptions près". Parmi les opérateurs privés d'ores et déjà sur les rangs, figure le groupe Malakoff Médéric.
     
    "Il ne s'agit pas que d'une coïncidence. Mais bien plutôt d'une stratégie concertée en famille", écrit Médiapart, "l'un assèche les régimes par répartition tandis que l'autre pose les fondements du système par capitalisation ". Le site ajoute : "Guillaume Sarkozy a engagé son entreprise dans une politique visant à en faire un acteur majeur de la retraite complémentaire privée. Et il a trouvé des alliés autrement plus puissants que lui, en l'occurrence la Caisse des dépôts et consignations(CDC), le bras armé financier de l'Etat, et sa filiale la Caisse nationale de prévoyance (CNP). Ensemble, tous ces partenaires vont créer, le 1er janvier prochain, une société commune qui rêve de rafler une bonne part du marché qui se profile."
     
    "Cette société n'aurait jamais vu le jour sans l'appui de l'Elysée", écrit Médiapart. En effet, la Caisse des dépôts et consignations est une institution publique présidée par un parlementaire. Pour sa part, la Caisse Nationale de prévoyance (CNP) est une filiale de la Caisse des dépôts et consignations, de la Banque postale et du groupe Caisses d'Epargne, lui-même présidé par François Pérol, ancien secrétaire général adjoint de l'Elysée.
     
    En outre, la Caisse des dépôts gère le Fonds de réserve des retraites. "Pourquoi la CDC se lance-t-elle dans pareille aventure pour faire le jeu du système adverse, celui par capitalisation?", demande Médiapart. "Et pourquoi, de surcroît, le faire avec une entreprise dont le patron est le frère du chef de l'Etat?"
     
    L'enjeu n'est pas mince. Le marché pourrait représenter " 40 à 100 milliards d'euros " : en fonction de l'aspect final de la réforme, les Français connaîtront une baisse plus ou moins considérable du taux de remplacement,
    c'est-à-dire du montant de la pension rapporté au salaire, et donc se précipiteront sur les systèmes de retraite complémentaire. Médiapart publie notamment un "business plan" confidentiel, qui fixe pour objectif une part
    de marche de "17%" d'ici dix ans. 
     

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  •  

    Pour la France d'en haut :
    des couilles en or
     
    Pour la France d'en bas :
    des nouilles encore

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