• L’amitié
    Ces derniers temps, je me triture un peu trop les neurones, à propos de l’amitié.
    C’est quoi, l’amitié ?

    Personnellement, je suis certainement un peu trop naïve et confiante, je suis quelqu’un qui donne son amitié relativement facilement. Quand je me sens en confiance, avec quelqu’un avec qui je m’entend bien, j’ai tendance à le considérer très vite comme ami.

    Mais pour moi, toujours, l’amitié n’est pas un vain mot. « Ami » n’est pas « copain ». Je suis très fidèle en amitié, intègre, loyale, limite exclusive aussi, même, mais je me soigne ;-)
    Mes amis peuvent compter sur moi, je serai là pour eux, sans condition.
    Mais si je suis capable de tout donner, j’attend aussi la même chose en retour, la même honneteté, la même confiance, le même respect, le même « amour » (pas dans le sens « amoureux », hein).

    Bref, j’ai quelques amies, j’en ai  déjà parlé ici, ma copine LN, depuis 1986, fidèle, même de loin, une chtite nouvelle, Carine, « découverte » grace à Chéri et avec qui ça a tout de suite collé, d’autres, plus lointaines, plus absentes (je le suis aussi, hein) mais sur lesquelles je sais pouvoir compter, une qui n’a plus donné de nouvelles depuis que je suis avec chéwi et qui me déçoit un peu mais je sais que j’oublierai tout dès que j’en aurai à nouveau (des nouvelles), des nouvelles futures amies, peut êtres, par blogs interposés, bref, je ne peux pas me plaindre ;-)

    Mais j'ai eu deux grosses déconvenues, d'autant plus grandes que j'étais en totale confiance.

    Il y a quatre ans, j’avais un ami, depuis 8 ans, un gars super sympa, très ouvert, qui m’a fait découvrir plein de choses, qui m’a forcé à sortir de mes réserves, qui m’a lancée au niveau associatif où je suis actuellement, un gars qui avait toute mon amitié, entière, sans retenue, avec qui j’étais en totale confiance, qui était aussi ami avec mon mari, donc il n’y avait aucune ambiguïté dans notre amitié. On est partis 10 jours en vacances ensemble, à trois, bref, un super ami, quoi.
    Que je croyais.
    Un jour, sur une connerie, même pas perso mais dans l’assoc’, il a fait une crise. J’étais présidente, j’ai agi en tant que telle, je lui ai expliqué mon point de vue perso, mon amitié, mais aussi le point de vue présidente. Il n’a pas supporté que je ne prenne pas fait et causes à 100% pour lui, et depuis, il m’a planté tellement de couteaux dans le dos que je n’ai plus de place pour une aiguille. Il n’a eu de cesse de me harceler, incidieusement, sournoisement, de manière cachée, ce qui fait qu’aux yeux de tous, il est resté le super pote, cordial, ouvert, et moi, je me débattait seule, aucune aide, aucun soutient de ceux que je croyais être des amis dans cette assoc’ (y compris, d’ailleurs, celle dont je parlais plus haut, tiens…) J’ai été très blessée, j’ai mis des mois à m’en remettre un peu, maintenant, ça me touche moins, mais c’est toujours un sujet sensible, surtout que ce nuisible continue son travail de sape encore maintenant…

    Quand j’ai connu Chéwi, par mail, au tout début, une des premières personnes dont il m’a parlée, c’est son pote, son copain, son ami de toujours. Ils ont grandi ensemble. D, il se nomme. Il a été témoin au mariage de chéwi, est le parrain de son fils ainé, bref, LE copain.
    Comme j’ai envié chéwi, un ami d’enfance ! C’est le seul à savoit tout de notre histoire, depuis le début, il connaît des secrets que Lex ne doit pas savoir, Chéwi connaît aussi ses secrets (marié, des enfants dont un adultérin, énormément courreur, entre autre) bref, une amitié sans nuages. Je l’ai vu deux trois fois, bon, il est un peu bourrin, mais par principe, je lui ai offert d’emblée mon amitié, hein, normal, l’ami de Chéwi est forcément mon ami.

    Et puis, il y a eu les rumeurs. Le tout premier réveillon qu’on a passé ensembles, à Metz, où Chéwi n’a eu le droit de voir ses loulous que deux jours, on n’a pas été invités à le passer chez lui. Pourtant, tous les ans, Chéwi le passait avec lui. Il a fini par apprendre que c’était parce que j’étais là. Que certains ne voulaient pas de ma présence… première pillule qui passe mal.

    En février 2006, il y a le salon du brasseur amateur, à Saint nicolas de Port. Chéwi et moi y allons, comme exposants et jury au concours. D. nous propose de venir dormir chez lui. Chéwi insiste « tu n’es pas obligé, je veux que ce soit de bonne grace, on ne veut pas s’imposer » Pas de soucis, nous y allons donc, tout se passe bien, avec D., et sa femme aussi. Je suis rassurée, je me sentais TRES mal à l’aise, dans ce milieu, ils avaient tous connu Lex, je ne veux pas m’imposer, je suis TRES timide.

    Et puis, à nouveau les rumeurs.
    En mai, une querelle à la con entre Chéwi et D. Ils ne se parlent plus jusqu’à noel. Là, Chéwi a une longue conversation au téléphone avec D., qui lui dit, entre autres, que Chéwi cherche trop à m’imposer, que c’est du forcing, qu’il faut lui laisser le temps, qu’il n’est pas habitué à moi, que même juste quand chéwi passe mon bonjour au téléphone, c’est tropque sa femme ne veut pas me voir et qu’elle m’a clairement fait comprendre que je n’étais pas la bienvenue

    Là, rien que là dessus, ça m’a mise en colère.
    Un « ami », ça ? Refuser de me voir parcequ’il n’est pas HABITUE ? C’est sur que c’est en ne me voyant jamais qu’il va vachement s’habituer. Et quand lui, il a présenté sa maîtresse à Chéwi, est ce que chéri lui a dit pareil ? Quand ils ont été manger chez elle, est ce que Lex a refusé d’y aller sous un prétexte aussi dégueulasse ?

    Déjà ça, ça me trotte depuis noel, ce genre d’attitude me bouffe. Je vous dit, je suis trop naive, je ne comrpend pas qu’on puisse agir comme ça. Je ne supporte ni l’hypocrisie, ni la malhonnéteté, ni la mauvaise foi. Ce sont des choses qui me désarment. Et je tourne en rond, je remue tout ça dans ma tête, ça alimente mes insomnies, je tourne et retourne tout ce que je voudrais lui dire, lui expliquer, comme je devrais agir, sans jamais trouver de solution….

    Puis est venu le coup de grâce.
    La semaine dernière, Lex a eu un coup de blues. Sur mon insistance (tout pour améliorer les choses, et puis je n’ai rien contre elle, si elle a des réaction normales, tant mieux !) chéwi l’a appellée. Ils ont passé trois heures (!!!) au téléphone, et elle lui a appris des choses…
    D. l’appelle souvent, pour lui parler de Chéwi et de moi.
    Entre autres, « il est con d’être parti », « il n’aurait pas du te quitter, c’est vraiment un con », et sur moi, je ne sais pas vraiment (Chéwi ne m’a pas tout dit….) mais je sais qu’il me critique beaucoup (jusqu’à des attaques physiques, c’est dire ! « elle est grosse »), critique mes enfants (« ils sont mal élevés »), assure que sa femme ne veut pas me voir, qu’il est hors de question que cette année on dorme chez eux en février (ça, tu l’as dit, même s’ils nous invitent, je préfère dormir sur le trottoir !), bref, même elle en a marre que D. lui rabache sans cesse ses conneries…


    Et là, ça tourne puissance 10 dans ma tête. Lex a demandé à chéwi de ne pas parler à D. de leur conversation, donc je ne peux pas m’en servir contre lui, puisque trop bon trop con, comme on dit, moi je respecte toujours mes promesses. Je ne sais pas quoi faire. Je veux dans tous les cas lui rentrer dedans, lui faire comprendre son attitude dégueulasse, indigne d’un soi-disant ami.

    Je souffre énormément de cette situation, pour lex, je suis l’ennemie, déjà, c’est pas hyper facile à vivre, mais à la limite « normal », mais pour les autres, ce n’est pas normal.
    Qu’il s’autorisent à juger Chéwi, à me massacrer comme ils le font, alors qu’il y aurait des tonnes de fumier à balayer devant leur porte, en plus !

    Chéwi est aussi très peiné contre D., le considère encore comme « copain », mais n’a plus confiance en lui. Quoi que ça me dépasse qu’il puisse encore le considérer même comme copain après tous ses coups dégueulasses… mais bon, l’amitié est sacrée pour moi, et même si ça me coûte, je ne ferai jamais rien pour empêcher chéwi…

    Voilà, je vous ai dit ce qui me tracasse en ce moment.
    Vous avez des idées ?
    Des idées constructives ?
    Des idées pour me défouler ?
    Je suis ouverte à toute proposition !


    3 commentaires
  • Aloooors, comme je l'expliquais dans un dernier article, je suis passée en version 2. Et je ne peux plus avoir de commentaires. Youpi.
    Sauf que, nuance, je ne peux plus avoir de commentaires sur le DERNIER article, mais à priori, les autres, oui.
    Va comprendre !
    Donc vous ne pourrez commenter CET article, mais ceux d'avant, normalement, oui.
    N'hésitez pas, j'en ai écrit 4 ce week end ;-p

    2 commentaires
  • Alooors, les gens, avant-hier, j'ai basculé dans un nouveau monde !

    Ce cher Over-blog m'a proposé de migrer vers la version 2, ce que j'ai évidemment accepté, étant toujours à la pointe du progrès, n'est-ce pas ?! ;-p

    Donc, normalement, la nouvelle version, c'est mieux, hein ?
    Mais bon, OB c'est comme Windaube : la nouvelle version est mieux, mais signalez nous tous les dysfonctionnements... pas grave, je teste, allons-y !

    Et donc, à part des petits trucs rigolos comme la liste des articles qui devient aléatoire et plus dans l'ordre chronologique, le plus gros problème est celui des commentaires.

    Depuis avant-hier, tous les nombreux commentaires hyper intelligents, pleins de réflexion et d'humour que vous avez fait sont partis dans les limbes d'internet.

    Je ne sais pas si je les récupèrerai un jour, ni où ils sont passés.

    J'ai signalé le pb, on verra bien si ça évolue...

    Bouhouhou, je veux revenir à la bougie...euh, non, là je confond avec JM Sylvestre...

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  • Aaaalors, pour vou expliquer pourquoi je suis énervée :

    les faits :
    Chéwi a bossé un mois et demi en intérim puis a été embauché en CDI.
    Au bout de deux mois, la dernière heure du dernier jour des deux mois d'essai, le subordonné du patron lui dit verbalement qu'ils ne le gardent pas.
    D'après la convention, ils ont tout faux : l'interim compte comme essai, donc il était embauché officiellement depuis un mois et demi.
    Le patron lui avait promis un forfait repas qu'il n'a jamais payé. Il doit deux mois de préavis avant licenciement.

    Pour faire rond, je vais raisonner sur des chiffres faciles.

    Le patron doit :
    deux mois de salaire de préavis : 2500 euros
    les primes repas : 500 euros
    les vacances et primes : 400 euros
    Soit environ 3500 euros.

    Se rajoutent les défauts de procédure, les dommages et intérêts (conseillés par un gars de la CGT qui siège aussi aux Prud'hommes), Chéwi a donc demandé en tout 10 000 euros, avec comme but de concillier autour de 4500 - 5000 euros.

    Le patron, qui est arrivé avec son avocat, a contesté les données (pourtant, c'est SA convention, hein) et a proposé 2000 euros.
    Chéwi a refusé net.
    Le patron est sorti parler avec son avocat, et est revenu proposer 2500 euros.
    Chéwi a refusé itou.

    Donc là, on passe en procès.
    On doit aller revoir les gars de la CGT cet aprèm, voir ce qu'ils diront.

    Je suis contente -grimace-
    On avait que ça à faire.

    Mais on est tétus tous les deux, ce connard ne s'en tirera pas comme ça.
    nanméo.


    2 commentaires
  • Au moment ou j'ecris ces lignes, Chéwi est devant les prud'hommes, pour son audience de concilliation avec son connard d'ex patron.
    Chéwi m'a indiqué que ce Môssieur courageux était venu accompagné de son avocat...
    Chéwi, lui, est venu seul. Pile un jour où je ne peux pas venir...
    Je stresse !
    On n'a rien à perdre de toute façon, mais je ne peux pas m'empêcher d'avoir peur !

    Vivement tout à l'heure pour savoir enfin !

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  • ... mais pas chez moi...

    Je suis dégoutée
    Oui, je sais, la neige, c'est froid, ca glisse, on peut pas rouler,...

    M'en fout

    J'aime la neige, la blancheur ouatée, la valse des flocons qui tombent, rouler ne me fait pas peur
    (contrairement aux autres conducteurs... car le sud ouest sous la neige, y'a de quoi s'arracher les cheveux !)

    Et donc, il neige partout en france, dans le sud, Bordeaux, Dax,

    MAIS PAS CHEZ MOI !

    Ce matin, je me suis tapée 60 km dont 50 sous la neige... les 10 premiers, rien, pluie, pas un flocon...
    Pourtant, j'habiote en hauteur, mais rien !
    Puis 10 km plus loin, en descendant sur Sault (clin d'oeil RdT), paf, tout est blanc, il tombe de gros flocons.

    Bon, je suis contente, j'ai vu de la neige, mais y'en a pas chez moi, bouhouhouh !


    6 commentaires
  • Je hais les ordinateurs en général et windows en particulier !

    Vendredi dernier, mon ordi plantait toutes les deux minutes "votre système est instable", qu'il me disait, l'ot'.

    Qu'à cela ne tienne, me suis-je dit en mon fort intérieur. Nous avons déjà un anti-virus, ce doit donc être des "spywares" qui foutent le bug dans mon ordi à moi, outil de travail essentiel s'il en est (et puis je peux aussi blogguer pendant les pauses, alors pas touche à mon ordi je peux tuer pour ça !)

    Brefle, je me connecte sur un site de téléchargement, je charge trois anti-spyware (ces logiciels espions qui ralentissent l'ordi car ils travaillent sans que vous le sachiez en même temps, pour envoyer et/ou chercher des infos sur votre ordi)

    Le premier me trouve trois trucs qu'il vire. Le deuxième ne trouve rien. Le troisième me trouve moultitude de virus, chevaux de troie et autres joyeusetés. Et me propose de tout virer, effacer le vilain, bouh.

    Bon, je me méfie quand même, alors je regarde les chemins d'accès de ces soi-disant virus : dans le registre, dans le système.

    Je me dis oula, on va pas effacer, on va juste mettre en quarantaine, comme ça, si ça marhce moins bien, on pourra toujours les récupérer.

    je pensais être maline.

    Ce con de logiciel l'était plus que moi. Il a mis en quarantaine un fichier .com nécessaire AU DEMARRAGE de l'ordi.

    A pu ordi, a demarre pu.

    je HAIS windows, bill gates, et les logiciels à la con qui font n'importe quoi.

    Un collègue qui bossait dans notre salle commune hier a rechargé windows (98, oui, c'est vieux, mais l'ordi aussi, on n'a pas beaucoup de moyens, à l'éducation nationale -grimace)

    Et en arrivant ce matin, j'ai vu la chose :

    Plus de réseau (tout notre boulot est stocké sur un serveur, donc plus de réseau = plus d'accès aux dossiers de boulot), plus d'imprimante réseau non plus, évidemment, plus d'internet, mais c'est est presque secondaire, il manque la moitié des logiciels, et le plus "drole", ce con d'écran est en 16 couleurs ! (C'est ça ou 2, pas le choix !)

    J'ai cru halluciner.

    Donc, là, j'en suis à essayer de faire marcher le graveur pour sauvegarder au mins le boulot qu'on avait sur le disque dur, et ensuite, on pensait formater, histoire, mais avec windiws 98, il faudra réinstaller TOUS les drivers, et je pense qu'on ne dois pas en avoir gardé la moitié.

    Installer windows xp, pas possible, l'ordi n'a pas assez de mémoire...

    Du coup, je déprime !

    J'ai mangé à toute vitesse, et là, je suis sur un ordi élève, qui lui est bien en réseau, mais n'a évidemment pas accès à l'imprimante.

    Je crois que je vais opérer avec une masse... ou un merlin, c'est bien aussi.


    3 commentaires
  • C'est compliqué, quand même...
    Je sais ce que Chéwi a quitté, pour moi.

    Quoi, il est parti pour moi, mais pas à cause de moi. Il ne l'aimait plus, depuis longtemps, et notre coup de foudre réciproque a été le déclic.
    Je ne lui ai jamais demandé de la quitter, ça a été sa décision. Je ne lui ai jamais demandé de venir habiter avec moi à 1200 km de ses enfants, je ne lui ai jamais demandé d'acheter ici.
    Evidemment, je suis contente de toutes ces décisions, mais si j'avais été mutée en lorraine, cela m'aurait tout à fait convenu aussi, tant que j'étais avec lui.

    Cela a été très dur pour lui, de quitter ses enfants. Il s'attendait à sa réaction, il la connais bien, il savait qu'elle allait être hargneuse, qu'elle voudrait se venger.

    Je sais très bien que c'est dur pour lui, de ne pas les voir, bien sur, mais aussi de ne pas avoir de nouvelles, jamais, il ne sait rien de leur vie, sauf le peu qu'elle met sur son blog, qu'il n'a pas le droit de lire, évidemment, car c'est sa vie privée à elle... (c'est moi qui le lit, pas lui -sourire).
    Elle sait tout ou presque de notre vie, car il doit sans cesse se justifier de tout, si on vient chercher les enfants, pourquoi, s'il demande un arrangement, pourquoi, et quand les enfants sont avec nous, ils lui décrivent ce qu'ils font presque minute par minute... Mais quand lui appelle, ils n'ont jamais rien à lui dire.
    Il ne me le dit pas, mais je sais qu'ils lui manquent souvent, même s'il ne les appelle qu'une fois tous les 15 jours.

    Je sais tout ça, je sais ses sacrifices, et c'est pour ça que je n'ose pas lui dire que je souffre aussi de la situation.
    C'est vrai, moi j'ai mes enfants, ça se passe très bien avec mon ex, je n'ai pas à me plaindre.

    Et pourtant, j'ai du mal à supporter la manière dont elle nous traite. Quoi, elle le ferait entre adultes, je m'en fout, à vrai dire de comment elle nous appelle, si ça la soulage d'être grossière, tant mieux.

    Non, ce que je ne supporte pas, c'est sa malhonnêteté, ses humeurs variables, sa haine et sa vengeance qui font qu'elle préfère impliquer ses propres enfants sans voir qu'ils ne vont pas bien. Et donc, devant les enfants, elle rabaisse constamment Chérw, en sa présence, et lui ne peut rien dire sinon c'est l'explosion assurée (larmes ou colère, suivant l'humeur). Quand elle lui parle de moi, c'est toujours en des termes grosiers ou vulgaires, toujours devant les enfants, évidemment.
    Tous les efforts qu'il fait, c'est normal car elle est la victime, et ça ne compte jamais, il lui faut encore plus de choses, de l'argent en plus de la pension, les vacances comme ça l'arrange... c'est vrai, on arrive à négocier aussi, mais aux prix de quelles prises de tête, de colères, de soumissions...

    Oui, il fait le dos rond pour que ce ne soit pas pire. Mais comment ça pourrait être pire ? Car malgré tous ses défauts, je ne la vois pas oser refuser de lui présenter les enfants. Elle a trop à perdre. Les voir moins ? Il a déjà le minimum prévu par le divorce. Il paye la pension plein pot, elle le rabaisse devant les enfants, les enfants sont puants quand ils sont avec nous au début (après ça passe par périodes),
    non, je ne vois pas comment ça pourrait être pire.

    Si au moins il lui disait. Elle est toujours persuadée qu'il est parti pour moi, et seulement pour ça.
    (je suis donc super woman, puisqu'à moi toute seule, j'ai réussi à arracher à sa femme aimante et attentionné un mari amoureux).
    Il ne lui a pas dit au départ, car elle était très mal, et il ne voulait pas lui rajouter encore plus de peine, ce que je comprend. mais maintenant qu'elle va mieux, il serait temps de lui dire, que s'il est parti, c'est parce qu'il n'était plus amoureux, et entre autre à cause d'elle....

    Voilà, tout ça, je n'ose pas trop insister, mais ça me ronge...

    Est-ce que quelqu'un aurait une solution ?

    10 commentaires
  • Doncques, après la descente (y'a pas d'autres mots) chez nous de ses ex-collègues pour récupérer (presque de force) la voiture de fonction, Chéwi a téléphonné à la CGT (seul syndicat que j'ai trouvé en urgence et à distance, car moi j'étais toujours au boulot)

    Ils lui ont dit de se présenter lundi car il n'avait pas eu de papiers officiels, que normalement, c'était une lettre recommandée 8 jours avant.

    Lundi, Chéwi est donc retourné à la boîte. Il a vu son "patron", qui avait l'air très embêté, et qui lui a confirmé la non reconduction du contrat, officiellement, fin de la pérode d'essai.

    Quand il lui a demandé pour quelles raison ils ne le gardaient pas, il n'a eu que de vagues raisons qui auraient fait rigoler n'importe qui dans d'autres circonstances...

    On est allés ensuite à la section locale de la cgt, où on est tombés sur un monsieur très sympa qui en 30 secondes, au vu des documents de Chéwi, lui a dit que son patron avait tout faux. Le contrat stipulait 2 mois d'essai, soit de début octobre à début décembre (le 2 exactement, ces salauds ont attendu la dernière heure du dernier jour pour lui dire, sans qu'il n'ait le moindre reproche avant !). Mais ils ont dû oublier que l'interim, s'il est suivi par l'embauche sans discontinuer, fait aussi office d'essai. Donc Chéwi a eu trois mois. Donc son licenciment est abusif, et on est sur de gagner aux prud'hommes.

    Voila, Chéwi a rendez vous jeudi pour remplir le dossier. Il est reparti s'inscrire aux assedics, aux agence d'interim et tout le tintouin... on avait bien besoin de ça, tiens !

    Je vous raconterai la suite, hein !


    3 commentaires
  • C'est ce que j'ai spontannément dit quand j'ai entendu cette info ce matin.
    Mauvais temps pour le cinéma...
    Philippe Noiret est mort.
    Ben zut.
    Ca m'a fichu un sale coup.
    J'adorais cet acteur, bien plus que les bellâtres actuels. il avait une prestance, une classe, une allure...
    Sa filmographie est exceptionnelle, mais le personnage l'est aussi.
    Il n'était pas "beau", non, mais quelle présence ! Et sa voix, si particulière.
    Un monstre sacré.
    Il est mort.
    Ben merde, alors.

    5 commentaires


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