Ou l'on paresse au soleil

Ce week end, c'est tranquille à la maison, avec Chéwi, les enfants et mes parents !
(je montrerai rapidement l'album scrap de ma moman, il est légèrement différent de celui de la moman à Chéwi).
Bref, ce week end, c'est maison, grillades, tranquille.
Je ne sais pas où ça en est dans le nord (pour ceux qui n'ont pas fait géographie, le nord, c'est tout ce qu'il y a au nord de la Garonne), mais ici, dans le sud, les cerises sont mûres de chez mûres.
Les enfants, avec leur délicatesse légendaire, ont commencé à en ramasser : deux méthodes :
- la première, secouer l'arbre et ramasser tout ce qui est tombé par terre.
- la deuxième, monter sur tout support (la petite table en plastique, ou un escabeau piqué au garage) et arracher tout ce qui porte des cerises.

Le samedi, avec ce qu'ils n'ont pas mangé de leur récolte, nous avons fait un clafoutis, englouti en un seul repas !

Le dimanche, après que les enfants, avec l'aide musclée des enfants voisins, aient commencé à essayer de ramasser, nous avons eu pitié du pauvre cerisier !
Chéwi a fait la récolte, et j'ai commencé à dénoyauter, ensuite aidé par chéwi une fois l'arbre vidé.
Je vais vous dire : le dénoyautage à la main, c'est pas facile !
On a fait "seulement" 3 kilos de cerises (poids mesuré une fois dénoyautées), mais il faut dire que c'est un tout jeune cerisier !
Puis, avec l'aide de tante Marie (livre de recette de 1970), on a tenté une confiture de cerises.
Comme il est tard, là, maintenant (23h) et que nous sommes crevés, la recette en photos demain.
Bonne nuit.
(en plus, avec la recette, je pourrai donner les premiers résultat gustatifs, puisqu'on ne va pas se gêner pour en manger demain matin !) ;-p